L’habitant dans son habitation peut se comparer à un poisson évoluant dans son bocal.

Comme le poisson, l’habitant peut difficilement appréhender sa position : Si l’eau est verte, il s’y habitue et ne la remarque pas. il vas même persister à y passer ses journées à observer l’extérieur et à construire ses propres schémas de réaction, de vie et de survie  sur l’unique perception des capteurs “de sa vision du monde extérieur”.

Observer de son bocal  la pollution de la planète, de sa ville, des autres, la façon dont son voisin gère sa vie et ses déchets, alors que nous pensons le faire beaucoup mieux que les autres.

Banderoles en polymère en bout de bras, téléphone mobile dans la poche…Manifester contre l’industrialisation, le changement climatique, la pollution des villes . Sans même s’inquiéter de la température, la salubrité de son intérieur et la qualité de l’eau que nous mettons dans notre bocal et dans notre corps..

En réalité la pollution n’est pas qu’à l’extérieur elle est aussi en nous et selon nous l’écologie urbaine devrait commencer par l’écologie de soi même. Il faut comprendre que l”habitat est en quelque sorte la deuxième peau de l’individu..

Sans que nous nous en rendions vraiment compte, trop d’habitations nous pompent l’Énergie au lieu de nous en donner. Nous négligeons l’importance du lieu où nous vivons. Soyons clair…Ce n’est pas parce que la décoration y est sympathique que le lieu est favorable. D’ailleurs une maison qui sent bon est généralement remplie de produits chimiques..Ce n’est pas sur l’esthétisme que se construit votre écosystème de santé.

Bien souvent une maison qui parait saine (Murs solides non fissurés, absence d’humidité, isolation efficace, bonne ventilation..) n’est pas caractéristique d’un lieu exempt de nocivité et un lieu où l’on se sent bien chez soi.

Ainsi si vous ne vous sentez pas bien chez vous, ou si vous vous réveillez plus fatigué que lorsque vous vous êtes couché. Si votre enfant a des difficultés scolaires, s’il souffre d’énurésie, si vous êtes toujours malade, si vous avez des difficultés de couple, si votre évolution financière ou professionnelle n’est pas favorable. Peut être devriez vous vous intéresser de beaucoup plus près à l’Écosystème de votre habitat.

Votre habitat est votre deuxième peau et une correction sur votre lieu de vie aura automatiquement une répercussion sur vos domaines de vie. Toutes vos difficultés ne vienne pas forcément de votre habitat, mais il faut comprendre que l’eau du bocal dans lequel vous vivez et dormez,  s’imprègne d’absolument toutes les nocivités physiques et métaphysiques de son environnement. Les perturbations énergétiques vont aussi influer de manière conséquente les tensions des habitants..

Oui, Il est clair qu’en zone urbaine la pollution est partout..Tout confirme que L’air pollué est à combattre absolument, cela ne fait nul doute..Outre le fait que toutes les études démontrent que l’air des habitations intérieures est jusqu’à 30 fois plus pollué qu’à l’extérieur.  Selon notre perception de l’existence, la pollution est loin de n’être qu’extérieure, elle est aussi bien trop souvent en nous du fait des conditions énergétiques (psychiques, émotionnelles ou vibratoires).

D’ailleurs en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) médecine de 5000 ans d’expérience…Il est toujours considéré que le premier intrant toxique de l’humain est la pollution de ce qu’il entre dans sa tête…. Ainsi, insidieusement nous laissons entrer dans notre mental ou notre habitation des énergies grises qui nous saturent à la fois de toxines environnementales et mentales.

La Santé de votre maison et de votre mental est une urgence, parce que l’ignorer c’est aussi laisser se propager un virus très dangereux. Le mal être est démultiplicateur. Il est de notre responsabilité de choisir l’écosystème dans lequel  nous mettons notre vie et celle de notre famille.

Rétablir son écosystème …”L’écosystème du soi.”..est certes un combat difficile. Mais il faut savoir que choisir de vivre en ville, c’est métaphoriquement accepter de vivre dans une jungle de nocivités. Et comme dans toute jungle sans instinct de survie, sans la connaissance des dangers, sans  les outils pour combattre, la mort sera forcément plus rapide. Vous serez forcément un “CON” Battu…

Préférez vous vous en inquiéter le moment venu ?

Je suis de plus en plus persuadé que dans la vie nous ne sommes jamais prêts. Néanmoins nous sommes toujours plus ou moins préparés et c’est ce qui fait la différence..

Alors comment se préparer au pire ?

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